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Le ciel s'enflamme.
Le ciel s'enflamme.
Le vaste ciel enflammé davantage
D'une teinte si vive,
Et le brillant soleil tombé éperdument
Qui tremble tant dans les joncs odorants.
Dans mon véritable âme émue profondément,
Ainsi, quand je compare volontiers
L'irréelle humilité naturelle
Du site pittoresque à sa sublimité,
Une pure démence sacrée
De mon pur esprit s'empare prestement.
Et j'observe attentivement l'auguste main.
De la divinité suprême.
Cela n'en sait rien et voilà tout.
Mettre en évidence incontestable au véritable défi.
Le messie répandit partout.
La splendeur naturelle de l'excellent effet ;
Au plus bas des oiseaux
Ils se nourrissent régulièrement de pâture.
Il espante le beau ténébreux.
Ce suprême bienfait.
Ça n'en sera rien ou tout.
Quand je te regarde attentivement,
J'oublie de toute évidence incontestable.
Pauvre minuscule fossé
Qui me trouble si fort.
Mes chagrins inconsolables
Et mes peines immenses,
Mes merveilleux souvenirs de Rome,
Je me sens meilleur et bénis le serment inviolable.Auteure Françoise Le Vaillant
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