• Ne me quitte pas.

    Ne me quitte pas.

     













    Ne me quitte pas.








    J'ai eu peur m'éloigne d'elle.

     

    J'en ai le cœur qui tremble intérieurement.

     

    Quand vient le soir.

     

    Quand je me sens opprimé.

     

    Elle m'avait révélé que là-bas.

     

    Ces derniers jours sans lendemain.

     

    Je revois nettement son unique regard.

     

    Par cette fenêtre intérieure

     

    Assombrie davantage par ces murs poreux.

     

    Quand j'ai franchi résolument 

     

    Cette porte cochère centrale.

     

    Par cette soirée inoubliable,

     

    Où j'ai traversé soigneusement

     

    Tout en traversant prudemment

     

    Cette immense pièce où elle se trouvait là.

     

    Son noble cœur frémissant fortement

     

    Et des larmes qui lui coulaient abondamment

     

    Le long de son adorable visage 

     

    Appauvri par ce temps confus

     

    Moi qui n'ai jamais cessé 

     

    de penser sincèrement à elle

     

    Pour que son cœur pur, 

     

    Reste continuellement en moi,

     

    Je reviendrai sans cesse céans, 

     

    Quand elle ne sera plus là.

     

    Cela me met adroitement.

     

    Dans tous mes états émotionnels.

     

    Chaque pas serein que Dieu le fera volontiers,

     

    Je l'aurai toujours dans la peau.

     

    N'oublie pas que je t'aime tant.

     

    Même loin, je t'aimerais cependant

     

    Je sais parfaitement désormais.

     

    Voler librement, de mes vastes ailes.

     

    Je tenais tant à cette grand-maman maternelle.

     

    Comme une phrase aimable 

     

    Qui revient inlassablement

     

    Sans jamais t'oublier,

     

    J'essaie discrètement d'être là.

     

    Quand elle vient régulièrement

     

    Dans mes rêves iréels cet instant magique,

     

    Et le gracieux sourire revient spontanément

     

    Sur mon visage placide.

     

    De sa délicieuse odeur naturelle.

     

    Me revient naturellement ?

     

    Sur le bout incandescent de mes lèvres divines

     

    Et je considère on ne peut plus.

     

    Mes meilleures années passées, à ses côtés maternels.

     

     

    Auteure Françoise Le Vaillant


  • Commentaires

    1
    Samedi 1er Octobre 2022 à 17:55

     

    Elle m'avait révélé que là-bas.

     

    Ces derniers jours sans lendemain.

     

    Je revois nettement son unique regard.

     

    tres joli pensee bon weekend bisous

    2
    Samedi 1er Octobre 2022 à 20:22

    Merci ma fille oui très jolie sur nos parents, partis malheureusement trop vite !

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