Le bonheur



Le véritable bonheur, 


C'est tant comme les fleurs parfumées.


Il Faut là chérir davantage.


Il faudra davantage des matins.
 

Pour la cueillir délicatement.


Avant qu'elle ne se désagrège 


Dans la sphère spatiale


J'ai bâti nouvellement mon bonheur infini. 


Sur les murailles chinoises de tes monarques. 


Plongeant dans tes abîmes éclairants de ton corps


Pour apercevoir distinctement tes lisières d'ors pur, 


Que ton cœur amoureusement a caché,


Se différencie du reste du monde entier de tes exposés


En le mettant gentiment dans l'écrin ton regard


Pour graver ton nom dans mon jardin


Remplis de bonheur unique et de magicienne,


Dans toute sa splendeur et sa voix engageante


Se remplit d'allégresse,

Auteur Françoise Le Vaillant