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Par Victorienne le 26 Novembre 2023 à 15:36
Le monde se lèvera.
Le jour historique ou le vaste monde
Elle se lèvera vivement.
L'authentique homme n'a qu'une véritable place.
Au dernier plan réel.
Mais le jour mémorable
Où le vaste monde se lèvera dignement,
La terre grondera, vous entendrez.
Vos véritables enfants pleurés réellement,
C’est alors que vous comprendrez parfaitement.
Ne jamais remettre à demain
Ce que l'on peut aisément faire aujourd'hui,
Car demain ça sera une autre vie,
C'est alors que vous aurez raison.
Les murs se briseront.
Les enfants chanteront.
L'unique amour, les nobles gens
Elles cohabiteront pacifiquement.
Pas de véritable violence, ni de véritable haine,
Pas de racisme, pas de discrimination sociale,
Tout redeviendra normal.
Si vous y mettez davantage du vôtre,
Cela peut arriver aux âmes bienheureuses.
Seul l'avenir réel nous le dira humblement…
Auteure Françoise Le Vaillant
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Par Victorienne le 26 Novembre 2023 à 15:07
L’idéal Masculin
Pourquoi chercher l'idéal ?
Dans ce monde cohérent éperdu
Quand rien ne va plus,
Sans même trop y croire.
Laissant clairement ma véritable vie
M’abandonner volontairement,
Même mes parents sont partis.
Me laissant seul au bord intérieur
Du pur mensonge,
Cherchant seul mes repères moraux,
Je n'ai trouvé que la trahison.
Mais tout n'est pas fini.
Mes pures obstinations,
Je les combattrai vaillamment.
Avec les mêmes armes
Qui m’ont mis à terre.
Je laisse pour seul héritage.
Ma triste vie.
Si ce n'est pas terminé,
Une corde vibrante pour en finir…
Mon âme immortelle
Pour les cieux immenses,
Loin de ce monde réel
De la nuit inoubliable
Qui a détruit méthodiquement.
Ma vie irréprochable,
Celle de notre illustre famille.
Je tiendrai pour responsables.
Cette société mal dirigée.
Et ses dirigeants conscients
Qui n’ont plus pas de merveilleux talents ?
À la véritable famine, aux droits
Du véritable homme bafoué ouvertement,
Dans une guerre sociale, où tout est argent.
Auteure Françoise le Vaillant
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Par Victorienne le 21 Novembre 2023 à 21:29
Ma ville.
Sans trop y croire réellement.
Marchant en silence dans ces rues familières
Qui pour moi n’ont plus aucun secret.
Trouvant aisément ma véritable route les yeux opalescents,
Sur les buttes, j'irai te contempler.
En passant de toute évidence par Recouvrance.
Comme deux amants d'un âge avancé,
Descendons un peu plus bas.
Voici Vauban,
Dans un monde idéal
Où les voix familières s’élèvent majestueusement
Au ciel immense ou les chants des marins
Ils se font entendre jusqu'au-dehors.
C'est cela Brest cette ville centenaire.
Se vêtir correctement de lumières incandescentes…
Auteure Françoise Le Vaillant
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Par Victorienne le 21 Novembre 2023 à 21:00
Paris, je t'aime.
Dans mes plus glorieuses années,
Longtemps, je t'ai cherché.
Près de toi, je suis bien.
En découvrant davantage cette ville immense,
J'ai retrouvé un peu de mes racines.
En me baladant près du grand canal,
J’ai trouvé mon idéal.
Cherchant mon âme sœur,
L'élue de son noble cœur.
C'est toi, Paris, qui m'a ouvert les bras.
Dans ce monde éperdu,
Quand deux vastes mondes se confondent parfaitement,
Les pauvres amants et les bienheureux,
Ils sont là, à trouver les mêmes rêves.
Sur ces véritables pavés remplis d'immense nostalgie,
Désirant ressembler à ces gens respectables
Qui ont fait volontiers l’excellente mémoire de Paris,
Auteure Françoise Le Vaillant
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Par Victorienne le 17 Novembre 2023 à 04:33
Large est l’océan
Partant pour la mer après une pluie sans fin,
Il fait encore nuit, puis nous voilà partis,
Laissant la famille, il est bien trop tôt pour la réveiller.
Le bateau est à quai, prêt à appareiller,
Dans le noir, nous partons droit devant, au milieu
De cet océan qui nous ouvre l’horizon,
Avec pour seuls guides ces phares qui nous éclairent.
Les nuages s’assombrissent
Au passage, sur cette surface âcre de brume,
Bientôt viendra le lever du jour,
Volent çà et là quelques mouettes,
Cherchant quelques bancs de poissons.
Les paniers sont mis, histoire de se reposer un peu,
Après quelques minutes nous voilà repartis, laissant là
Les paniers que nous irons rechercher en fin de journée.
Les poissons se font rares, quelques merlus
Que nous avons pour faire passer le temps,
Le temps n'est pas favorable,
Le vent vient de changer, noir est le ciel,
Nous resterons quand même sur cette mer agitée,
Voulant à tout prix payer l'ardoise de la semaine.
Car demain on ne sait pas si on pourra reprendre la mer.
Les vents contraires annoncés pour quelques jours
Nous laisserons là, sur les dunes,
À contempler les vagues se fracassant sur les rochers,
Laissant les algues sur les plages
De cette mer et de tous ses mystères…
Auteure Françoise le Vaillant
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