Se promener incognito en bord de mer

 

 

Le franc soleil reflète fidèlement 

Ses dernières fins rayons.
Couchant derrière l'vaste océan,
Et les vagues scintillantes viennent

 Régulièrement s'échouer.
Doucement sur le sable fin
Formant parfaitement des ruisselets,
Et l'eau limpide réchauffée agréablement
Par le soleil estival s’impose naturellement,
Au vaste ciel humecté de bleu iridescent,
Et les vagues transparentes 

Roule en silence à nos pieds.
Un merveilleux souvenir de notre passage initiatique
Sur l'immense plage avec toi,
Et les herbes aromatiques que l’on voit d'ici
Découvre davantage les dunes verdoyantes.
Aux reflets changeants,
Ensorcelées par le véritable vent des alizés,
Murmurées tendrement par un vent léger,
Loin là-bas,
Un véritable blizzard l'emporte discrètement.
Vers cette mer bleue,
C’est exactement une véritable joie de voir parfaitement.
Ce sentencieux panorama,
Que je ne verrai qu'au travers,
De tes yeux attentifs,
Je suis réellement l'immense miroir 

Qui éclaire suffisamment ton adorable visage.
Où je vois clairement se refléter parfaitement sur ta ravissante image,
À travers le vaste océan Pacifique,
On peut aisément entendre nettement 

Le chant mélodieux du vent alizé.
Où les oiseaux marins se joignent,
Formant spécialement un duo musical animé particulièrement
Enchantant réellement nos âmes sereines
Par ces chants joyeux,
Je suis tant le brillant soleil de tes yeux rieurs.
Par des milliards de pépites,
Et les vagues phosphorescentes 

Nous enveloppons tendrement.
Dans le frimas du soir mémorable
Le soleil radieux va incessamment, nous dire bonsoir.
Sur les vagues étincelantes de ton adorable regard

 

 

Auteure Françoise le Vaillant

 

 

 

 

Sans partage équitable

 

 

Quand le matin frileux tout n'est pas encore réveillé,

Dans mon grand lit froid,

Je sens en moi des odeurs froides.

Ma vie tout entière n'est que solitude.

 

Et le silence est amer...

Et je m'enferme, rien n'est pareil...

Je me noie dans cet isolement.

Douloureux, alors que la vie

 

Semble merveilleuse à l'extérieur.

J'ai tout ce que je veux.

Mais cela ne me suffit pas.

Peut-être qu’un jour…

 

Même si c'est sans but,

Même si, je ne vaux plus rien,

Ma vie tout entière à son immense merci...

La mort miséricordieuse n'est pas si redoutable. …

 

Je continuerai à le faire.

Avec la grâce de Dieu,

Aussi, longtemps, que durera ma vie, ?

Qui est à la mesure du temps.

 

Et mon œuvre,

Dédale de ma vie,

Sa lumière illumine cette puissance.

Et l'humanité tout entière est incertaine...

 

La joie que tu avais introduite dans ma vie

Cette joie qui me fait toujours de l'effet...

Tu ne peux pas forcer quoi que ce soit.

Si tout est imparfait…

 

 

Auteure Françoise Le Vaillant

 

 

 

Le poète incompris

 

Il écrivait sans se lasser.

Mais personne ne le voyait.

Personne ne comprenait.

Ce qu'il avait sur le cœur.

Chagrinée par cette douleur,

Passant devant lui sans un regard,

Je voyais son désespoir, le cœur bien las.

Mais il avait cessé de croire.

Que ses poèmes intéresseraient quelqu’un.

Seul son ami, ce brave chien, était là pour le voir.

Il demanda à ce brave toutou de lui expliquer.

Ce qu'il avait pu faire pour mériter le mépris des autres...

Même ce brave chien ne pouvait pas lui répondre.

Personne ne le regardait plus en face.

Personne n'acceptait d'entendre ce qu'il avait à dire...

Personne ne devrait voir ça.

Pas même le regard d'un chien,

Il suit avec passion, tant bien que mal.

Pour comprendre sa vie,

Victime innocente et sans limites,

C'est qu'il ne s'arrêtera pas d'écrire...

Même au-delà de la mort invisible, il restera

Quelques personnes respectables,

 

Juste pour son enterrement décent,

Pour dire vivement : « Tiens », celui-là,

 

On ne l’a, en aucune façon, cru ! »

 

Je ne jette la pierre à personne sensée.

Mais quand même, c'est dur, c'est très pénible.

Car jour et nuit, j'écrirai régulièrement.

 

Mon éloignement volontaire.

Pour ne dire sincèrement que les écrits philosophiques

 

Ils restent incontestablement, mais pas les nobles paroles...

À une certaine époque, le verbe « Aimer actif » avait un sens.

Mais aujourd'hui, que deviendraient réellement ?

Je me sens laid et incompris.

Il s’agit certainement davantage de ça.

Que d’être moralement un poète incompris…

 

 

Auteure Françoise Le Vaillant

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur ma vie !

 

Ce matin, il a plu.

 

Sur ma vie,

 

Sur mes pensées,

 

Sur mes véritables sentiments

 

Et sur ma liberté réelle.

 

Au fond de moi,

 

Je vais me battre.

 

Plus fort que tout,

 

Moi-même foncerait,

 

Je ne me lasserai pas de t'aimer.

 

Ce matin dans le sentier,

 

Je me suis prise à rêver.

 

À voir l'avenir, à voir le passé,

 

Heureux mélange,

 

Tendres pensées,

 

Entendre distinctement

 

Mon noble cœur,

 

Respirer profondément

 

À pleins poumons.

 

Je voudrais crier.

 

Dire combien je veux t'aimer,

 

Me soulager, avouer la vérité,

 

Simplement un mot singulier,

 

D'un verbe adéquat,

 

« Je te love aussi… »

 

Pour t’aimer !

 

 

Auteur Françoise Le Vaillant

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'être aimé

 

 

Comme lui, je veux.

Être amoureuse de la vie,

Vivre ma vie dans le bonheur...

Mon cœur est en adoration.

La vie avec vous était merveilleuse.

Sous votre regard toujours attentif.

Merci à toi, Papa, je suis heureuse

De t'avoir comme père,

Je te vois dans mes rêves.

Quand je ferme les yeux la nuit,

Quand je te vois là-bas dans les nuages,

Au milieu des anges,

Comme un enfant sage.

Parle-moi de toi, comment étais-tu jadis ?

Étais-tu un vrai père pour moi ?

Car moi, je ne sais plus...

C'était vraiment drôle cette vie sans toi, mon père,

Je dois moi aussi penser à ma vie...

Toi, père de mes souvenirs,

Je te parle comme si tu étais à mes côtés.

Alors je pense encore à toi.

J'ai encore besoin de toi, mon cher père.

Tu resteras toujours l'être le plus cher.

En moi… Parole de ta fille bien-aimée

« Je t'aime tant mon cher papa admirable ».

 

« Je te chéris particulièrement » ...

 

 

Auteure Soizic Le Vaillant