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    Le soleil se lève-t-il vraiment à l'est ? - Ça m'intéresse

     

     

     

     

     

     

    Le véritable jour se lève.

     

     

    Au crépuscule précoce de mes nuits sereines,

    Où tout sommeille paisiblement,

    Encore s'écoule en silence

    Et coule ce jour mémorable béni des dieux omniscients,

    Avec ce brillant soleil qui réveille 

    Parfaitement la terre féconde

    Dans son manteau bleu scintillant,

    Comme des gemmes

    La faisant exactement renaître,

    Voilà une nouvelle journée météorisée.

    Et mon âme immortelle qui commence 

    Réellement à croire sincèrement

    Que tout est beau dans ce monde réel,

    Que la vie est agréable quand on la prend

    Par les authentiques sentiments, 

    Je serai réellement pour toi !

    Ô jour merveilleux ! Au soleil radieux ! Ô vivante étoile !

    Pour que tu renaisses plus belle encore,

    Toi qui es d'ici la terre nourricière qui a donné la vie,

    Je te protégerai comme mes yeux.

    Quand tu me les as offerts,

    Le jour décisif où tu m'as donné l'existence honorable,

    Toi le messie descend prudemment sur terre accueillante,

    Comme une immense multitude de Nova,

    Avec des papillons aux mille couleurs naturelles.

    Je me laisse séduire par ce ruisseau limpide.

    Alors que j'admirais tant cette eau si futile 

     

    Auteure Françoise Le Vaillant


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  • https://sceneweb.fr/wp-content/uploads/2023/07/la-question-avec-stanislas-nordey-au-festival-off-davignon-2023.webp

     

     

     

     

     

     

    La question,

     

     

    Tant de fois, je t'ai posé la question,
    Tu as systématiquement évité la discussion.
    Tu ne m'as pas répondu.
    On ne sait pas si les gens s'entendent vraiment.
    Moi-même, j'ai longuement pleuré.
    Je ne sais plus si nous nous sommes rappelés.
    Par pudeur, je ne vais pas appeler.
    On sait accrocher à nos souvenirs.
    Mais tu es parti sans te soucier.
    De ce que je suis devenue réellement.
    Tu avais tout prévu.
    Tu as disparu purement.
    Ça devait notamment durer un mois merveilleux.
    Tu es parti d'ici. Ça fait longtemps.
    Déjà, depuis ce temps dévolu
    J'ai effacé soigneusement tes traces sauves.
    J'ai même déchiré tes uniques lettres.
    Je n’ai rien gardé de notre véritable passé.
    Jeté discrètement tous t'est merveilleux présents,
    En fuyant d'ici mon véritable avenir, 

    Je l’ai rendu volontiers au véritable passé.
    Tu étais constamment dans mon cœur sincère.
    J'ai surmonté aisément tous mes malheurs réels.
    Seule dans la nuit étoilée,
    Je souffrais en silence d’insomnie.
    La vie aventureuse s'est arrêtée discrètement pour moi.
    J’ai cessé purement d'exister ce soir-là précis.
    Je me suis mise en évidence à boire en silence.
    J’ai sombré profondément dans l'ivresse totale.
    En détruisant méthodiquement 

    Chaque jour mémorable ma jeunesse romantique.

    J'ai passé régulièrement des véritables nuits. 

    À attendre patiemment.
    Seule dans le méandre,
    Seule dans ce grand lit,
    Où notre véritable amour a grandi davantage,
    J'ai souffert quelque temps sauf.
    Donnons-nous une dernière chance inespérée.
    Pour que nos corps désirables changent agréablement,
    Que nos véritables corps se cambrent davantage d'immense plaisir,
    Susurrant des mots plaintifs,
    Épuisés littéralement jusqu'à notre dernier souffle,
    Vivre distinctement sans véritables limites

     La volupté charnelle de l'authentique amour…

     

    Auteure Françoise Le Vaillant


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    Les nombreux bienfaits de la balade sur la plage

     

     

     

     

    Le bord de mer

     

    Le soleil reflète ses derniers rayons.

    Couchant derrière l'océan,

    Et les vagues viennent s'échouer.

    Doucement sur le sable

    Formant des ruisselets,

    Et l'eau étincelante réchauffée agréablement

    Par le soleil radieux s’impose naturellement,

    Au ciel limpide humecté de bleu limpide,

    Et les vagues régulières s'étendent.

    Lentement à nos pieds préhensiles.

    Un merveilleux souvenir de notre passage favori

    Sur cette plage paradisiaque avec toi,

    Et les herbes odorantes que l’on voit distinctement

    Qui naissent sur les dunes verdoyantes.

    Aux reflets changeants,

    Ensorcelées par le vent alizé,

    Murmurées tendrement par un vent léger,

    Loin là-bas,

    Un véritable blizzard couvre.

    Cette mer bleue,

    C’est réellement une unique joie de découvrir le soir.

    Ce sentencieux panorama,

    Que je ne verrai qu’en travers toi,

    Je suis tant le miroir universel. 

    Qui éclaire brillamment ton bel adorable visage ?

    Où je vois parfaitement se refléter 

    Parfaitement ta véritable image,

    À travers le sable encore mouillé

    On peut aisément entendre distinctement. 

    Le chant mélodieux des goélands.

    Des oiseaux marins jouent.

    En formant un duo musical animé particulièrement

    Enchantant religieusement sur nos âmes romantiques

    Par ces chants joyeux,

    Je suis incontestablement le miroir de tes yeux rieurs.

    Par des milliards de pépites,

    Les vagues nous enveloppent.

    Dans la fraîcheur du soir

    Le soleil va bientôt nous dire bonsoir.

    Sur nos fins visages remplis d'unique espoir

     

     

    Auteure Françoise Le Vaillant


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